Apres cinq films dont la qualite semble s’i?tre degradee au fil des episodes, la franchise Transformers tente un comeback avec un premier spin-off centre concernant l’emblematique robot jaune Bumblebee.

March 11, 2022

Un long-metrage qui revient aux origines de la saga et privilegie l’emotion a l’action pour de nouveau faire rever les spectateurs, petits comme grands.

Un cocktail empreint de reussite ? Malgre un delicieux demarrage, la soiree cale en passant la seconde https://besthookupwebsites.org/fr/talkwithstranger-review/.

Realise avec Travis Knight (Kubo et l’Armure Magique), Bumblebee reste 1 prequel prenant place 20 ans avant nos evenements de pallier film Transformers. Envoye via Terre Afin de preparer l’arrivee des Autobots ayant survecu au coup d’etat des mechants Decepticons via Cybertron, B-127 – aka Bumblebee – degote refuge au sein d’ une tire californienne sous la forme tout d’un ancienne coccinelle jaune. C’est aussi trouve avec Charlie (Hailee Steinfeld), une adolescente passionnee de mecanique et qui possi?de des difficultes a trouver 1 sens a sa propre vie depuis que son pere reste decede. Mais tout juste le temps d’apprecier votre amitie du 3eme type que deux Decepticons retrouvent un trace et menacent la future survie des Autobots sur la planete bleue.

Passe son introduction puissante et nostalgique, il devient promptement simple que ce spin-off veut se detacher des derniers Transformers. Ce soir revient Dans les faits aux racines en franchise, en portant votre nouveau regard sur la relation entretenue par les Autobots au milieu des humains, et non plus sur le combat millenaire qui les opposent a toutes les Decepticons. En resulte 1 film a J’ai mise en scene bien moins explosive et qui privilegie le sentimental a l’action en mettant l’accent via l’amitie qui unit l’heroine endeuillee a l’attachant Bumblebee. Une sobriete qui sert le film. autant qu’elle le dessert.

E.T. : L’Extraterreste, Le Geant de Fer.

Telles paraissent des ?uvres qui viennent a l’esprit en regardant Bumblebee – ce qui n’est au passage moyennement votre hasard, Steven Spielberg ayant i  priori chuchote l’idee du film a Paramount Pictures. En depit tout d’un casting convaincant (aussi si le jeu ultra-cliche de John Cena en militaire simplet nous a quelques fois desarconnes), votre spin-off ne parvient malgre tout nullement a en reproduire totalement la magie. Car si l’alchimie des protagonistes est bien palpable et l’aventure dans l’ensemble plus touchante et digeste que les precedentes, un gout du melo trop prononce, associe a de l’action releguee au second plan, porte prejudice a une telle production familiale. Ca parle Effectivement trop et ca broie du noir bon nombre. Consequence : le film en oublie desfois de nous divertir – si ce n’est en premieres et ultimes minutes de l’intrigue.

Son le desir aussi de satisfaire les adultes comme nos plus jeunes spectateurs est egalement a double tranchant. Alors oui, les enfants, c?ur de cible de ce spin-off, souriront face aux mimiques et gaffes comiques de Bumblebee, ainsi, se reveront a coup sur proprietaires tout d’un robot de compagnie aussi amical. Nos fans plus ages se sentiront en revanche quelque peu oublies, malgre des references appuyees a la culture pop « eighties » et a la franchise Transformers qu’ils ont suivie avec assiduite ces dix dernieres annees. Ce film derive ne parvient en effet pas a planter de nouveaux enjeux veritablement decisifs, outre manquer cruellement de dynamisme.

Ces defauts seront d’autant plus regrettables que la soiree reste visuellement tres reussi. Malgre son mutisme, Bumblebee, a toutes les reactions animales et juveniles, parvient a partager beaucoup de emotions a l’ecran, grace a une animation fluide et maitrisee. Mes des scenes d’action sont aussi bien rythmees et jouissent de la retenue qui manquait franchement aux derniers volets en saga – Travis Knight n’a Effectivement pas herite de l’amour inconditionnel de Michael Bay Afin de nos explosions – en particulier celles ou le robot et ses assaillants font l’etalage de leurs talents de transformiste.

Mais encore une fois, ce spin-off ne va pas toujours au bout de ses remarques. Cela y avait surtout bien de trucs a faire au milieu des deux antagonistes Decepticons, capables de se transformer autant en voiture qu’en vehicule volant. Mais mis a part quelques affrontements choregraphies qui envoient et effets graphiques sympas, on reste un brin trop concernant sa faim.

Rien a penser en revanche sur la bande-son qui parvient a capter l’essence des annees 80, tout en des utilisant desfois comme ressorts comiques aboutis.

Verdict

Bumblebee est une fable mignonne et visuellement reussie qui fera rever les plus jeunes, mais laissera les plus grands quelque peu sur leur faim. Quelques scenes d’action bien rythmees – dont l’une des meilleures sequences d’introduction d’la saga – ne suffisent Effectivement nullement a Realiser oublier le cote trop « melo » de ce spin-off. Un procede bien l’un des grands soucis de la video : a trop vouloir donner le bourdon, il en oublie parfois de nous divertir.